SOUVENIRS DE GRECE …

Maman à Hydra
Hydra

Yolande et Maman en Grèce

par Danielle et Yolande

Danielle :

Maman est venue me rejoindre à plusieurs reprises pendant les six ans que j’ai passés à Athènes, en Grèce.

Lors de ses différents séjours, elle a particulièrement apprécié la « parea », c’est à dire la compagnie, la sociabilité des Grecs, et les soirées en taverne, la musique, la cuisine… 

Elle a, bien-sûr, visité les sites les plus connus : l’Acropole, le temple de Poséidon au cap Sounion, le site de Delphes, la ville de Volos et le Pilion, etc. 

L’île d’Egine, son port, ses petites plages et le temple d’Aphaia l’avaient aussi séduite : Aimée était curieuse de tout. 

Et, bien évidemment, elle apprécia Athènes, ses places, ses boutiques, ses ruelles animées, son ambiance chaude et colorée… 
Elle y avait méthodiquement arpenté, pièce par pièce, le grand musée archéologique.


Les rencontres privilégiées qu’elle avait pu faire avec mes collègues et amis français et grecs l’avaient ravie… 


Nous avions passé ensemble, avec Yolande, quelques jours dans l’île d’Hydra, le joyau des îles Saroniques non loin d’Athènes. La déambulation dans les ruelles escarpées de ce village construit en amphithéâtre, les promenades le long du rivage, les bains de mer, les maisons blanches, les terrasses des cafés, la circulation des ânes… l’avaient enchantée !

Yolande :

Oui, j’ai eu la grande joie d’accompagner Maman lors d’une de ses visites à Danielle, en Grèce. C’était la première fois que nous étions ensemble à l’étranger, pour de vraies vacances, bien loin des responsabilités familiales et tâches domestiques qui habituellement étaient les siennes… C’était un vrai bonheur de la voir ainsi, légère, totalement disponible à la découverte, l’émerveillement, dans ce superbe pays.

Nous avions fait toutes 2 une longue excursion à Corinthe et Mycènes, alors que Danielle était au travail. Et le séjour à Hydra, qu’évoque Danielle, a été un enchantement. Je me souviens qu’alors que nous traînions sur une terrasse de café, elle nous confia qu’elle n’avait guère l’habitude de vivre ce genre de moment, où il n’y a rien à faire, sinon de goûter l‘instant présent, d’apprécier la beauté de ce qui nous entoure. Nous étions heureuses de partager ce moment privilégié avec elle.